Du 24 au 29 octobre 1927 se tint à Bruxelles le cinquième congrès Solvay
sur le thème « Electrons et photons ». il résume la période la plus
spectaculaire de l’histoire de la physique. Avec la présence de dix-sept
titulaires ou futurs lauréats du Prix Nobel sur les vingt-neuf
participants, ce congrès fut l’une des plus remarquables rencontres de
cerveaux qui se soient jamais tenues. Il marquera aussi la fin d’une ère
de créativité en physique comparable à la révolution scientifique du
XVIIe menée par Galilée et Newton.
Manjit Kuman fait revivre sous nos yeux les différentes confrontations de cette époque où la découverte de la double nature de la lumière et du rayonnement ébranla toute la communauté scientifique. Même si dès 1905, Einstein, avait déjà une idée de ce que pouvait être la mécanique quantique, il ne pouvait imaginer le chemin particulièrement nouveau qu’emprunterait Niles Bohr. Derrière les théories les plus abstraites, Kumar nous décrit l’affrontement des hommes qui, malgré leur intelligence hors norme, peuvent se comporter avec une extrême violence pour défendre leur conviction. Planck, de Broglie, Pauli, Heisenberg, Schrödinger, Dirac… Quelles visions de la réalité avaient-ils ? Certains partageaient l’esprit d’école de Copenhague et considéraient que le réalité dépendait des conditions expérimentales suivies. D’autres estimaient que « Dieu » ne jouait pas aux dés et que le fameux chat de Schrödinger était soit bien mort soit bien vivant !
Aujourd’hui encore la question n’est toujours pas réglée. C’est ce que nous raconte brillamment le livre de Manjit Kuman.
Manjit Kuman fait revivre sous nos yeux les différentes confrontations de cette époque où la découverte de la double nature de la lumière et du rayonnement ébranla toute la communauté scientifique. Même si dès 1905, Einstein, avait déjà une idée de ce que pouvait être la mécanique quantique, il ne pouvait imaginer le chemin particulièrement nouveau qu’emprunterait Niles Bohr. Derrière les théories les plus abstraites, Kumar nous décrit l’affrontement des hommes qui, malgré leur intelligence hors norme, peuvent se comporter avec une extrême violence pour défendre leur conviction. Planck, de Broglie, Pauli, Heisenberg, Schrödinger, Dirac… Quelles visions de la réalité avaient-ils ? Certains partageaient l’esprit d’école de Copenhague et considéraient que le réalité dépendait des conditions expérimentales suivies. D’autres estimaient que « Dieu » ne jouait pas aux dés et que le fameux chat de Schrödinger était soit bien mort soit bien vivant !
Aujourd’hui encore la question n’est toujours pas réglée. C’est ce que nous raconte brillamment le livre de Manjit Kuman.
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